Premier roman d’Héloïse Deschepper
Dès les premières pages je suis passée par les montagnes russes.
J’ai préféré le poser et reprendre mes esprits.
Peut-être que cet ascenseur émotionnel était provoqué par le fait que l’écrivaine et moi n’étions pas étrangères.
Héloïse c’est une histoire commune d’écriture sur le net, de bavardage de nos fenêtres pendant ces longues semaines de confinement, de plaisir partagé et d’un profond respect. Alors j’ai pris peur de ne pas être objective.
C’était idiot. Forcément cette fille me touche, me fait rire, m’intéresse. Ce livre est le prolongement. De sa plume, ses mots sont un cadeau pour ses filles, pour les hommes et les femmes que nous sommes. Dans nos imperfections, nos désirs, nos erreurs, aussi notre force à renaître.
Héloïse n’a pas peur du diable et de ses démons.
Elle libère les tabous. J’aime cela. Une force, une âme et une arme… remplie d’amour et d’optimisme, même si cela peut paraître amer.
La vie quoi ! Comme le chante si fort Cali.
Félicitations pour ce premier livre que j’ai vite repris et lu avec beaucoup de plaisir. Une nouvelle page s’ouvre.
« Les parfums d’un jardin qui s’éveille,
des grains de café qu’on emprisonne,
un vieux fou qui parle à sa mère,
un hors sujet dans une boîte à chaussures,
la spiritualité d’un bain de minuit,
les ados d’avant Internet,
la playlist de France Inter un jour de grève,
l’aérographie d’un clitoris jovial,
Un roman à l’eau de rose… Avec les épines ! »
DISPONIBLE SUR COMMANDE AUX EDITIONS 5 minutes pour moi toute seule